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Les jardins oubliés de Ninive

De mémoire
Projet tiré d'un rêve

À travers le parcours de l'eau, si cher aux Assyriens, sept lieux ont ressurgit, appelant de l'oubli des îles suspendues dans le vide. Peut-être des fragments de mémoire.

Le trait gravé a pris le pouls du rêve à la manière d’un sismographe. De là s’est établie une cartographie émotionnelle marquée de signes cunéiformes ninivites. Autant de repères décrivant l’état des lieux.

Mais ce sont là des lieux désertiques, inertes, encore lointain. Seul l’idée des jardins nous rappel que la nature peut être abondance & luxuriance. Et à l’instar de ce titre, les mots, les signes cunéiformes incrustés dans l’image ont ce même rôle, vital, celui de compléter ces paysages amnésiques et de leur rendre la vie par le sens qu’ils insufflent.

Cette lecture du paysage ne peut être complète, elle ne peut naître en nous que si l’image se fait le recueil de l’écrit.

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Rencontre à l'atelier avec le photographe Edouard Elias

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Sept gravures sur cuivre à l'eau forte imprimées sur papier de moulin et limitées à 20 exemplaires. 
Tirage variant du bleu gris au bleu plus intense.

--> Extrait des Notices sur les caractères étrangers publiée en 1937. M. Charles Fossey. Imprimerie nationale

Ancre 1
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